Singulier | Pluriel |
---|---|
sémantique | sémantiques |
\se.mɑ̃.tik\ |
sémantique \se.mɑ̃.tik\ masculin et féminin identiques
L’aire sémantique de aéronef avec cette signification y est délimitée par rapport à aérostat désignant un ballon non dirigeable et aéronat réservé au ballon dirigeable.— (Louis Guilbert, La formation du vocabulaire de l’aviation, volume 2, page 50, Librairie Larousse, 1965)
Le second obstacle sémantique qui s’oppose à ce qu’on considère que "-aille" construit du collectif, c’est le fait que le nom de base auquel s’applique ce suffixe peut ne pas renvoyer à des individus.— (Marc Plénat, Poissonnaille, poiscail (et poiscaille). Forme et sens des dérivés en -aille, dans L’emprise du sens: structures linguistiques et interprétations, Rhodopi, 1999)
Par exemple : pardonner v.tr.dir. « 1. accorder le pardon, 2. recevoir le pardon » est à la fois un togolisme grammatical, (v.tr.ind. → v.tr.dir.) et une innovation sémantique de par l’extension de sens.— (Michel Francard et Danielle Latin, Le régionalisme lexical, De Boeck Supérieur, 1995, page 108)
Il existe toutefois des logogrammes « muets », appelés déterminatifs ou classificateurs (ou encore déterminants sémantiques). Ce type de logogrammes, qui est attesté par exemple en égyptien ancien et en maya, ne sert qu'à donner des indications sémantiques, lexicales ou grammaticales, et n'est pas associé à une forme sonore.— (Nicolas Tournadre, Le prisme des langues : essai sur la diversité linguistique et les difficultés des langues, Paris : L'Asiathèque/Maison des langues du monde, 2014, chap. II, §. 4)
Certains ne verront là que querelle sémantique insignifiante. C'est se condamner à ne rien comprendre à l'enjeu. Leurs raisonnements sont construits sur des mots dont ils ignorent le sens. Comment pourraient-ils raisonner juste?— (Jean-Pierre Steinhofer, Quand l'Ouest perd le nord, page 9, Editions Oskedith, 2022)
Singulier | Pluriel |
---|---|
sémantique | sémantiques |
\se.mɑ̃.tik\ |
sémantique \se.mɑ̃.tik\ féminin
L'origine onomatopéique d'un lexème est une question diachronique, sans pertinence en tant que telle pour la sémantique de la parole : ainsi, il n'est pas fondamental pour nous de trancher parmi les nombreux cas qui peuvent faire débats (quid de gong, flaque, grogner, grommeler, siffler, claquer, vrombir... ?)— (Rudolf Mahrer, Phonographie: La représentation écrite de l’oral en français, éd. Walter de Gruyter, 2017, page 166)
→ Modifier la liste d’anagrammes