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Puis, de l’autre côté du mur que troue, au fond du potager, une petite porte à secret, on trouve un bois taillis où l’avenue de hêtres, de droite et de gauche, aboutit.— (André Gide, La porte étroite, 1909, Le Livre de Poche, page 7)
je n’en connaissais pas, je n’en imagine pas de plus belles : aucun bois taillis n’y cache les fûts des grands arbres.— (André Gide, Retour de l’U.R.S.S., 1936)
(Par ellipse) Bois que l’on taille, que l’on coupe de temps en temps.
On commence d’abord par nettoyer le sol en arrachant les ronces, les épines, les bruyères, etc., puis on procède à l’abatage du taillis.— (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 162)
Le campement fut donc reporté sur une petite extumescence où poussaient quelques bouquets isolés de pins et de bouleaux, dont l’agglomération ne méritait certainement pas la qualification de taillis.— (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
Grande donc fut sa surprise lorsque il se vit appréhender vigoureusement par deux douaniers qui s’étaient dissimulés dans l’intérieur du taillis et dont il n’avait naturellement pu soupçonner la présence.— (Louis Pergaud, L’Évasion de Kinkin, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
j’appris qu’il était d’autres joies que celles d’épier sous un arbre l’approche d’un ramier ou de placer le soir sur un passage dans les taillis d’invisibles lacets.— (Francis Carco, Maman Petitdoigt, La Revue de Paris, 1920)
(Spécialement)(Sylviculture) Arbres, arbustes qui ont poussé à partir de souches ou par rejet, par opposition aux arbres nés directement d’une graine (futaie).