Singulier | Pluriel |
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théologie apophatique | théologies apophatiques |
\te.ɔ.lɔ.ʒi a.po.fa.tik\ |
théologie apophatique \te.ɔ.lɔ.ʒi a.po.fa.tik\ féminin
Jung tient le même langage que les grands mystiques chrétiens défenseurs d’une théologie apophatique —comme Maître Eckhart, Jakob Böhme, Henri Suso ou Jean Tauler—, qui ne cessent de répéter que de « Dieu » on ne peut rien dire : on ne peut que l’éprouver dans l’âme.— (Frédéric Lenoir, Jung – Un voyage vers soi, Albin Michel, 2021, page 179)
La défausse qu’est la « faillite » de l’État postcolonial fait penser à la définition de Dieu dans la théologie apophatique, qui part du principe que les attributs du Tout-Puissant sont inaccessibles à notre compréhension. Ce qui fit dire à Saint Augustin : « Si tu le comprends, ce n’est pas Dieu. »— (Stephen Smith, La Ruée vers l’Europe, Grasset, 2018, page 109)
→ voir théologie, apophatique et phatique
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