Singulier | Pluriel |
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thérapie réparatrice | thérapies réparatrices |
\te.ʁa.pi ʁe.pa.ʁa.tʁis\ |
thérapie réparatrice \te.ʁa.pi ʁe.pa.ʁa.tʁis\ féminin
La Société canadienne de psychologie s'est fait l'écho de cette position en 2015 en disant : « La conversion ou la thérapie réparatrice peut avoir des conséquences négatives, comme la détresse, l'anxiété, la dépression, une image négative de soi, un sentiment d'échec personnel, de la difficulté à maintenir des relations et un dysfonctionnement sexuel. »— (CBC News, Ottawa refuse de bannir officiellement les thérapies de conversion, 23 mars 2019 → lire en ligne)
La thérapie de conversion ou la « thérapie réparatrice » est une pratique largement discréditée par les spécialistes de la sexualité et les psychologues canadiens.— (Stéphane Parent, Le Canada envisage de criminaliser les thérapies de conversion pour homosexuels toujours offertes au Québec, 10 juillet 2019 → lire en ligne)
La "thérapie de conversion" dite parfois "thérapie réparatrice" n’a évidemment rien de scientifique.— (Éléonore Abou Ez, En Ethiopie, des religieux encouragent la "thérapie de conversion" pour les homosexuels, 11 septembre 2019 → lire en ligne)