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(Québec)(Familier) Petit enfant. Note : Peut avoir une connotation tantôt affective, tantôt méprisante, mais est le plus souvent utilisé de manière plutôt neutre.
À cette époque-là, j'étais encore rien qu’un ti-cul.
« Lettre à mon ti-cul », texte écrit par Pierre Falardeau pour son fils.
Dans la cour, quand le temps est au beau, on peut ramasser tous les ti-culs du coin et organiser un après-midi de drapeau, de cachette, de cow-boys ou de ballon-chasseur…— (Le Devoir, 11-12 décembre 2004)
Un ti-cul, déguisé en cow-boy, active une mitraillette en plastique. Le sourire coquin.— (Le Devoir, 15-16 novembre 2003)
Ti-cul si tu t’en souviens Quand t'étais ti-cul t'étais bien Si tu t’en souviens pas C'est qu’t'es pus ti-cul mon gars.— (Ti-Cul, chanson d'Edgar Bori)
La sociolinguistique devrait étudier l’extraordinaire destin québécois du mot « p'tit », avec ou sans apostrophe. Et on n’a pas encore exploré la variante « ti », que le Québec partage avec les pays créoles. Et il y a l’inventaire des Ti-Cul, Ti-Jean, Ti-Loup, Ti-Père, Ti-Coune et alii, nés pour un « p'tit pain », rêvant d’ouvrir un « p'tit restaurant », disait la chanson. — (Jean Paré, L'actualité, 15 décembre 2005)
Je suis chômeur de mon état Je m’appelle Ti-Cul Lachance Pogné, marié, trois filles deux garçons Merci pour l’assistance. — (Ti-Cul Lachance, chanson de Gilles Vigneault)
Déjà tout petit, il se faisait mettre à l’écart parce qu’il n’osait jamais. Ti-Cul LaTrouille avait peur de la forêt et de la ville.— (Blogue Tous les chemins mènent ailleurs, 1er mai 2005)
Et, devant lui, on se sent toujours un peu ti’cul, même quand ça fait près de 40 ans qu’on se connaît et qu’on en est à la 20e, peut-être même à la 30e entrevue… — (Le Devoir, 25-26 février 2006)