tsimshian

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot tsimshian. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot tsimshian, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire tsimshian au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot tsimshian est ici. La définition du mot tsimshian vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition detsimshian, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Cette entrée est considérée comme une ébauche à compléter en français. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier le wikicode »).

Étymologie

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

Adjectif

masculin et féminin identiques

Singulier Pluriel
tsimshian tsimshians
\Prononciation ?\

tsimshian \Prononciation ?\

  1. Relatif aux Tsimshians, peuple autochtone d’Amérique du Nord, et à leur culture.
    • Nombreux sont les visages amérindiens que je croise ce jour-là dans les rues de Terrace : il s’agit de familles tsimshians venues faire la fête depuis leurs villages disséminés dans la basse vallée de la Skeena. — (Marie Hélène Fraïssé, Alaska, l’ultime frontière, Albin Michel, 2023, page 193)
    • La figure polymporphe du trickster se stabilise au début du XXe siècle, avec la parution d’un corpus de mythes tsimshian, tlingit et haida recueillis par Franz Boas, Henri W. Tate et John Swanton. — (Nastassja Martin, À l’est des rêves, La Découverte, 2022, page 119)
    • Il est difficile d’imaginer comment vivaient les gens ici : l’ambition des sculpteurs exaltés à l’idée de troquer leurs outils tsimshians en dents de castor contre du fer européen ; les longues maisons communautaires pareilles à des granges construites en planches et poutres de cèdre ; les somptueux potlatchs au cours desquels les chefs et les nobles asseyaient leur statut en offrant le spectacle de leur munificence. — (John Vaillant, L’Arbre d’or, traduit de l’anglais par Valérie Legendre, Les Éditions Noir sur Blanc, 2014, pages 80-81)

Traductions