Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
urbanophile | urbanophiles |
\Prononciation ?\ |
urbanophile \Prononciation ?\
Qu'est-ce que l’urbanophilie? Si c'est le fait d'attribuer des vertus morales, sociales et politiques à la ville, alors depuis vingt-cinq ans un discours indubitablement urbanophile se fait entendre, et cela de manière répétitive, émanant de sources diverses mais convergentes.— (Philippe Genestier, L'urbanophilie actuelle, ou comment le constructionnisme politique se réaffirme en s'indexant à la ville, dans Antiurbain: origines et conséquences de l'urbaphobie, sous la direction de Joëlle Salomon Cavin & Bernard Marchand, PPUR Presses polytechniques romandes, 2010, page 252)
La dernière est que la fin des années 1970 marque un retour sur le devant de la scène de représentations urbanophiles, retour qui s'accentue dans les années 1990. L'aménagement du territoire en tant que révélateur des représentations de la ville se fait le reflet de cette évolution.— (Joëlle Salomon Cavin, La ville, mal-aimée: représentations anti-urbaines et aménagement du territoire en Suisse, PPUR presses polytechniques romandes, 2005, page 37)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
urbanophile | urbanophiles |
\Prononciation ?\ |
urbanophile \Prononciation ?\ masculin et féminin identiques
La ville historique, chère aux urbanophiles purs et durs, plutôt intellectuels nostalgiques de la sociabilité de quartiers centraux et de villages annexés, circonscrite dans un périmètre relativement réduit, se caractérise par une densité et un tissu parcellaire très resserré.— (Alexandre Delarge, Ville mobile, Paris : éditions Créaphis, 2003, page 22)
urbanophile \ʊʁbanoˈfiːlə\