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Étymologie
- Déverbal de venor (« chasser »), dérivé de venatum, avec le suffixe -trix.
Nom commun
vēnātrīx \u̯eːˈnaː.triːks\ féminin (pour un homme, on dit : venator)
- (Chasse) Chasseresse, chasseuse.
Cui mater media sese tulit obvia silva,
virginis os habitumque gerens, et virginis arma
Spartanae, vel qualis equos Threissa fatigat
Harpalyce, volucremque fuga praevertitur Hebrum.
Namque umeris de more habilem suspenderat arcum
venatrix, dederatque comam diffundere ventis,
nuda genu, nodoque sinus collecta fluentis.
— (Virgile, Aeneis, livre I, 318-320, traduction)
- Voilà qu’au fond d’un bois se présente sa mère :
Son air, son vêtement, sa démarche légère,
D’une vierge de Sparte offre tous les dehors ;
Ou telle, aux pieds d’Hémus, l’Hèbre voit sur ces bord,
L’Amazone, animant les coursiers qu’elle dresse,
Voler, et de ses flots devancer la vitesse.
Pareil est son habit, pareil est son carquois :
Sa flèche semble attendre un habitant des bois ;
Un souple brodequin compose sa chaussure ;
Au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture
De ses légers habits serrent les plis mouvants,
Et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
- Chienne de chasse.
Amphitheatrales inter nutrita magistros
venatrix, silvis aspera, blanda domi,
Lydia dicebar, domino fidissima Dextro,
Qui non Erigones mallet habere canem,
Nec qui Dictaea Cephalum de gente secutus
Luciferae pariter venit ad astra deae.
— (Martial, Epigrammaton, livre XI, LXIX, traduction)
- Dressée à la chasse par, les maîtres des jeux, terrible dans la forêt, douce à la maison, je m’appelais Lydia. Fidèle à Dexter, mon maître, il ne m’eût pas donnée pour la chienne d’Érigone, ni même pour le chien crétois, qui, après avoir suivi Céphale, fut mis, après sa mort, au rang des astres, à côté de la messagère du jour.
Apparentés étymologiques
Références