Singulier | Pluriel | |
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Masculin | vicinal \vi.si.nal\ |
vicinaux \vi.si.no\ |
Féminin | vicinale \vi.si.nal\ |
vicinales \vi.si.nal\ |
vicinal \vi.si.nal\ masculin
Ce chemin, dit vicinal, courant entre les enclos des paysans, joignait, une demi-lieue plus loin, la grande route du Havre à Fécamp.— (Guy de Maupassant, Une vie, 1883, réédition Folio Classique Gallimard, 1974, page 41)
On cueillait depuis une quinzaine de jours, au long des routes vicinales, aux orées des « longs champs », autour des villages, sur des lieues et des lieues de terroir, par toutes les vallées.— (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 10)
Toutefois, jusqu’en mai 1904, qui vit la création d’un chemin de fer vicinal vers Chimay et Couvin, le bourg resta privé de moyens de communication autres que des chemins vicinaux impraticables l’hiver et mauvais en toute saison.— (Cul-des-Sarts sur Wikipédia)
Singulier | Pluriel |
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vicinal \vi.si.nal\ |
vicinaux \vi.si.no\ |
vicinal \vi.si.nal\ masculin
Il se souvenait d’un certain matin, dans le Calvados, où, à un arrêt du vicinal noir et luisant, il avait renoncé à téléphoner à sa femme qui ne savait rien de lui plutôt que de manquer au plaisir de boire du vin blanc dans un caboulot pleins de pêcheurs et de paniers de marée.— (Georges Simenon, L’Aîné des Ferchaux, 1945)
C’était un vicinal comme on en trouve presque tout le long de la côte.— (Christian Brulls (pseudonyme de Georges Simenon), L’Amant sans Nom, éditions Arthème Fayard, 1929, réédition 1980, première partie, chapitre V (en parlant d’un tramway))
→ voir vicinale