Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | vitupératif \vi.ty.pe.ʁa.tif\
|
vitupératifs \vi.ty.pe.ʁa.tif\ |
Féminin | vitupérative \vi.ty.pe.ʁa.tiv\ |
vitupératives \vi.ty.pe.ʁa.tiv\ |
vitupératif \vi.ty.pe.ʁa.tif\
Loin de nous ce vocabulaire vitupératif qui déshonore la polémique de la presse !— (Albert de Broglie, Le Corps législatif, le Mexique et la Prusse ; Charles Douniol libraire-éditeur, Paris, 1868, page 13)
On prêchera le mépris du christianisme, mépris âcre, vitupératif, joyeux et sonore, ce mépris que ni Julien l’Apostat, ni Celse, ni Diderot, ni Nietzsche lui-même n’osaient déclarer.— (Eugène Bœglin, Le Crépuscule du luthérianisme, chapitre V ; Librairie Bloud et Cie, Paris, 1907, page 44)
La haute impartialité de M. Bryce a bien cette nuance. Les genres vitupératif et laudatif lui sont également étrangers.— (Émile Boutmy, Éléments d’une psychologie politique du peuple américain, chapitre I : La Méthode, II ; Librairie Armand Colin, Paris, 1902, page 18)
Au personnage de Saint Jean-Baptiste y serait substitué celui d'un ivrogne sentencieux et vitupératif.— (Pierre Lasserre, Philosophie de Goût musical, Les Cahiers verts no 11, Grasset, 1922, p.80)