masculin pluriel |
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États \e.ta.z‿y.ni\ |
États \e.ta\ masculin pluriel
— C’est mon neveu Lorenzo, annonça de suite Éphrem Surprenant, un garçon de mon frère Elzéar, qui est mort l’automne passé. Vous ne le connaissez pas ; voilà longtemps qu’il a quitté le pays pour vivre aux États.— (Louis Hémon, Maria Chapdelaine, J.-A. LeFebvre, Montréal, 1916)
– Moi, dit Napoléon, répondant à mon soliloque muet, je m’en irai vers l’Oklahoma. On peut encore y vivre, et je n’ai jamais été condamné aux « États ».— (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 21)
Sa blonde est partie— (Beau Dommage, « La complainte du phoque en Alaska »)
Gagner sa vie
Dans un cirque aux États-Unis.
Il pense aux États
En pleurant tout bas,
C’est comme ça quand ta blonde t’as lâché.
Singulier | Pluriel |
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État | États |
\e.ta\ |
États \e.ta\ masculin
Les États-Unis ont, dès l’an 1795, signé un traité de paix et d’amitié avec les États barbaresques qui leur donnaient des avantages incomparablement plus grands que ceux que leur offrait l’ordre de Malte qui voulait lui aussi traiter avec eux.— (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
Les États de Guernesey
Les États de Jersey
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