Invariable |
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à la mal au bide \a la ma.l‿o bid\ |
à la mal au bide \a la ma.l‿o bid\ invariable
Dédé de Lyon portait des bénards à la mal au bide, comme on n’en trouvera plus bientôt qu’au musée Carnavalet.— (Albert Simonin, Le petit Simonin illustré, Les Productions de Paris, 1959, page 189)
Détonnant un peu sur ces paisibles, deux barbiquets de banlieue, gapette torpédo, bénard à la mal au bide et pompes marseillaises deux tons, après avoir chambré les lycéens, commencent à chercher du suif à Georges, le loufiat.— (Albert Simonin, Hotu soit qui mal y pense, Gallimard, Paris, 1971, pages 98-99)
Il se recherchait pas, question sapes, du côté musette… les maillots de marin rayés, les chapeaux mous, les frocs à la mal au bide, c’était pas son genre…— (Lucien d’Azay, Nouveaux exercices de style : pastiches, Climats, Castelnau le Lez, 1996, page 18)
Certains même avec des ceintures de flanelle, des gilets de corps, des pantalons à la mal au bide, des moustaches tombantes, sortes de réincarnations des marlous 1900.— (Claude Croubois, Retour à Tours, rue Basse, Geste Éditions, La Crèche, 2018)
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