Singulier | Pluriel |
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économie de subsistance | économies de subsistance |
\e.kɔ.nɔ.mi de syb.zis.tɑ̃s\ |
économie de subsistance \e.kɔ.nɔ.mi de syb.zis.tɑ̃s\ féminin
Alors que le secteur public n’a aucune liaison avec l’économie de subsistance dont la production est par définition auto-consommée par les agents de production eux-mêmes, le fonctionnement de l’Etat et des diverses administrations entraîne par contre de fortes répercussions sur l’activité de l’économie monétaire.— (Jérôme Pujos, Croissance économique et impulsion extérieure : étude sur l’économie mauritanienne, Presses Universitaires de France, Paris, 1964, page 88)
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, l’économie de subsistance n’est pas un système dont ceux qui le pratiquent ont le désir ardent de sortir et peuvent le faire aisément.— (Robert Badouin, Économie rurale, Armand Colin, Paris, 1971, page 34)
Le passage d’une économie de subsistance à une division mondiale du travail, et par conséquent à une concurrence mondiale, est lisible dans la transformation de la structure économique : d’abord agricole, puis industrielle, l’économie est aujourd’hui une économie de services fondée sur le savoir.— (Martin Boesch, Économie alpine : d’une économie de subsistance à la concurrence mondiale, dans la Revue de Géographie Alpine, no 93-2, 2005, page 55)
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