| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| éperluette | éperluettes |
| \e.pɛʁ.lɥɛt\ | |
éperluette \e.pɛʁ.lɥɛt\ féminin
Autre question. AT ne nous dit rien des indices de segmentation (pour reprendre ses propres termes) lorsqu'ils tombent sur la particule copulative & - l’éperluette des typographes -, que Montaigne n'ignore pas et dont il use une fois dans la partie conservée de cet allongeail. Or l’éperluette appartient, avec les barres de nasalisation et autres tildes à l'arsenal du compositeur: elles sont autant d'instruments au service de la mise en page, afin de jouer sur les espacements.— (Bulletin de la Société des amis de Montaigne, 2000, p. 127)
Les éperluettes (&) sont développées en «et» de coordination, tout comme les et caetera avec éperluettes (« &c. » devient «etc.»).— (Joann Élart, Catalogue des fonds musicaux conservés en Haute-Normandie, tome 1 : Bibliothèque municipale de Rouen, vol. 1 : Fonds du Théâtre des Arts (XVIIIe et XIX siècles), Publications de l'Université de Rouen, 2004, p. LIV.)