épeuré

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épeuré \e.pœ.ʁe\

1. Qui est pris de peur.
   • Je ne me souviens point de l’avoir jamais vu bien réjoui, ni bien épeuré, ni bien content, ni bien fâché d’aucune chose qui nous arrivait. — (George Sand, Les Maîtres sonneurs, George Bell and sons, 1908, page 6)
   • Un cygne nage, épeuré, dans un tourbillon de plumes sanglantes. — (Alphonse Daudet, La partie de billard, dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, page 19)
   • Pour de nouveau le questionner, il omit de se composer un visage plus affable, et l’enfant, épeuré, bredouilla :
     — Ben… Il écoute pas toujours les chefs… Il est pas sage… Il… — (Yves Gibeau, Allons z’enfants, 1952)

épeuré \e.pœ.ʁe\

1. Participe passé masculin singulier de épeurer.

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