Singulier | Pluriel |
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éristale gluante | éristales gluantes |
\e.ʁis.tal ɡly.ɑ̃t\ |
éristale gluante \e.ʁis.tal ɡly.ɑ̃t\ féminin
Les deux déterminants s’expliquent par les deux caractères suivants : la larve de l’éristale gluante vit dans les eaux stagnantes et les fosses d’aisance et se termine par une sorte de « queue » très longue (comp. fr. ver queue-de-rat).— (Atlas linguistique de la Wallonie' : La terre, les plantes et les animaux, Presses universitaires de Liège, 1953, page 338)
Très commune et répandue, l’éristale gluante se rencontre fréquemment, y compris en ville dans les parcs et les zones fleuries, où elle butine de nombreuses fleurs.— (Morgane Peyrot, A la découverte des insectes, Larousse, Paris, 2021, page 191)
Certaines sont 100 % végétariennes (phytophages), par exemple les larves du syrphe des narcisses, tandis que d’autres, telles les larves de l’éristale gluante, surnommée « abeille du fumier », se délectent des asticots qu’elles trouvent dans les fosses à purin.— (Fiona Kiss, Andreas Steinert, Mais qui grignote mon potager ?, Larousse, Paris, 2023, page 126)
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