Singulier | Pluriel |
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éthopée | éthopées |
\e.tɔ.pe\ |
éthopée \e.tɔ.pe\ féminin
Ces quatre sources sont no 1 le besoin ; no 2 le pléonasme ; no 3 la métathèse ; no 4 l’énallage. Parmi les figures de pensées, au nombre de dix-huit, il en distingue deux nées du besoin : l’aposiopèse et l’épitrochasmos ; six nées du pléonasme : la prodiorthose, l’épidiorthose, la procatalepse, la paralipse, la diotypose, l’épimone ; six nées de la métathèse : la prosopopée, l’éthopée, la figure appelée μιϰτόν, parce qu’elle tient de l’une et de l’autre, l’interrogation appelée έρώτησις, l’interrogation appelée πεύσις, et la prétérition ; quatre nées de l’énallage : l’ironie, la dubitation, l’allusion satirique, l’apostrophe.— (Étienne Gros, Étude sur l’état de la rhétorique chez les Grecs, Typographie de Firmin Didot Frères, Paris, 1835)
Il décline la gamme des Mercedes exaltées par Houellebecq et tient l’éthopée, ou l’art de peindre en quelques traits le caractère d’un personnage, pour la figure de style préférée de Weyergans.— (Jérôme Garcin, « Humeur », “Le Bilboquet de Jean-Jacques Rousseau et autres divertissements”, L’Obs, nº 2911, 13 août 2020, p. 63)
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