Féminin singulier |
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Apocalypse \a.pɔ.ka.lips\ |
Apocalypse \a.pɔ.ka.lips\ féminin singulier invariable
Il traverse l’Apocalypse ;— (Victor Hugo, « Le Cheval », Œuvres complètes : Les Chansons des rues et des bois dans la bibliothèque Wikisource , Ollendorf, 1933 (1re éd. 1865), page 8)
Pâle, il a la mort sur son dos.
Sa grande aile brumeuse éclipse
La lune devant Ténédos.
On doit se rappeler que l’Apocalypse étant un texte parfaitement symbolique et ésotérique, les ciseaux des sculpteurs avaient autant de difficultés à traduire dans la pierre ce qu'il annonçait, qu'en avaient les prêtres pour en dévoiler les significations aux fidèles. C'est la raison pour laquelle il n'est resté marqué dans les chapiteaux et les tympans que les images et symboles les plus compréhensibles, et ceux qui pouvaient frapper les esprits d'un public qui n'avait accès ni par la lecture ni par la culture aux écrits hermétiques.— (L’Apocalypse de saint Jean dans la pensée spirituelle médiévale)
Beaucoup d’entre nous vivent dans l’attente de l’Apocalypse et les lecteurs de Bloy citent volontiers cette parole étrange qui me paraissait n’avoir aucun sens en 1918 : « J’attends les cosaques et le Saint-Esprit. »— (Julien Green, Journal 1946-1950 - Le Revenant, Plon, 1951 ; réédition Le Livre de Poche, 1975, page 93 – 30 juin 1947)
L’Apocalypse de Jean, dernier livre de la Bible, est un texte énigmatique dont la traduction exacte à partir du grec est « dévoilement ».— (Eric Schmoll, Apocalypse de Jean : Le dévoilement, 2014)
Le mont Sion et la cité du Dieu vivant sont explicitement identifiés à la Jérusalem céleste dans l’Épître aux Hébreux, 12:22, et point n'est besoin de citer en entier la version apocalyptique de la glorieuse Jérusalem céleste, brillante d'or et de saphirs, telle que la décrit le chapitre 21 de l’Apocalypse.— (Régine Dhoquois-Cohen, Jérusalem, ville ouverte, L’Harmattan, 1997, page 19)
Singulier | Pluriel |
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Apocalypse \Prononciation ?\ |
Apocalypses \Prononciation ?\ |
Apocalypse \ə.ˈpɒk.ə.lɪps\