Nom propre |
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Arbonne-la-Forêt \aʁ.bɔn.la.fɔ.ʁɛ\ |
Arbonne-la-Forêt \aʁ.bɔn.la.fɔ.ʁɛ\
Reste la maison forestière de La Vendée . Bâtisse administrative appartenant à l’Office National des Forêts construite en bordure de la route reliant Arbonne-la-Forêt à Milly-la-Forêt, elle est occupée au moment des faits par un agent de l’ONF, ce qui en fait, a priori, un lieu exempt de toute suspicion.— (Christian Porte, « Fiancés assassinés de Fontainebleau » : Les Vérités interdites d'un fiasco judiciaire, Éditions Edilivre, 2018, p. 313)
Arrivés en bordure de la forêt, à Arbonne-la-Forêt, ils sont contrôlés par un barrage de la Feldgendarmerie. Tout se passe rapidement, les Allemands fouillent le véhicule, ainsi que les deux officiers et découvrent alors, dans le portefeuille du capitaine Mulsant, une notice explicative sur le fonctionnement de la mitraillette « Sten ».— (Roger Colson, Le réseau "Jean-Marie" au combat, France-Empire, 1984, p. 89)
Ce volume rassemble les communications présentées lors d'un congrès sur la pisciculture en étang tenu les 11, 12 et 13 mars 1980 à Arbonne-la-Forêt, 77630 Barbizon, France. Ce congrès a été organisé par le Laboratoire de Physiologie des Poissons (l.N.R.A.) et pris en charge par l’Institut National de la Recherche Agronomique.— (La pisciculture en Étang : actes du Congrès sur la Pisciculture en Étang, Arbonne-la-Forêt, France, 11-12-13 mars 1980 1980, sous la direction de R. Billard, Institut National de la Recherche Agronomique, 1980)