Nom propre |
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Seine-et-Marne \sɛ.n‿e.maʁn\ |
Seine-et-Marne \sɛ.n‿e.maʁn\ féminin singulier, invariable
Les maires et les préfets de plusieurs départemens, parmi lesquels il est juste de citer en première ligne M. le préfet de Seine-et-Marne, ont pris ces sociétés d’orphéonistes sous leur protection.— (Paul Scudo, « La musique en province » in la Revue des Deux Mondes, année 1857, page 448. Dans Wikisource : s:fr:La Musique en province et s:fr:Page:Revue des Deux Mondes - 1857 - tome 11.djvu/452 pour la page.)
Immédiatement après cette ratification, les troupes allemandes quitteront l’intérieur de la ville de Paris, ainsi que les forts situés à la rive gauche de la Seine ; et, dans le plus bref délai possible, fixé par une entente entre les autorités militaires des deux pays, elles évacueront entièrement les départements du Calvados, de l’Orne, de la Sarthe, d’Eure-et-Loir, du Loiret, de Loir-et-Cher, d’Indre-et-Loire, de l’Yonne, et, de plus, les départements de la Seine-Inférieure, de l’Eure, de Seine-et-Oise, de Seine-et-Marne, de l’Aube et de la Côte-d’Or, jusqu’à la rive gauche de la Seine.— (Traité préliminaire de paix du 26 février 1871, article 3. Texte procuré par Wikisource : s:fr:Traité préliminaire de paix du 26 février 1871 (Malte-Brun))
De même, pour le département de Seine-et-Marne, le dictionnaire topographique paru en 1954 permet de relever les noms de 87 localités disparues : 4 seulement sont données pour paroisses ou villages ; les autres sont des hameaux ou encore des écarts de 3 ou 4 maisons.— (Jean-Marie Pesez et Emmanuel Le Roy Ladurie, « Les Villages désertés en France : vue d’ensemble », dans Économies, Sociétés, Civilisations, volume 20, no 2, 1965, page 261)
Considérant que la cour administrative d’appel de Paris a suffisamment précisé les motifs pour lesquels elle estimait que l’arrêté du 30 septembre 1998 du président du conseil général de Seine-et-Marne affectant M. A à l’unité d’action sociale de Combs-la-Ville à compter du 15 octobre 1998 ne constituait pas une sanction disciplinaire déguisée . Considérant que la cour administrative d’appel a estimé qu’il était établi que M. A avait proféré des propos injurieux à l’encontre du sous-directeur de l’enfance du département de Seine-et-Marne et que ces faits justifiaient la sanction du blâme .— (Conseil d’État, le 11 janvier 2008. Texte procuré en ligne par Wikisource : s:fr:Conseil d’État/271291.)