Nom propre |
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Armançon \aʁ.mɑ̃.sɔ̃\ |
Armançon \aʁ.mɑ̃.sɔ̃\ masculin
Pour chaque coupon de bois de charpente qui sera flotté sur le» rivières d’Yonne, de Cure et d’Armançon, ainsi que sur le canal de Bourgogne, 3 fr. 20 c, dont 2 fr. 20 c. a l'arrivée aux gares de Bercy ou d'Ivry, .— (Victor Alexis Désiré Dalloz, Répertoire méthodique et alphabétique de législation, de doctrine & de jurisprudence, V.6, 1847, page 294)
Le vallon de Carisey se joint à la vallée de l’Armançon, en amont et à peu de distance de Villiers-Vineux; les eaux de ce vallon, amenées par un ruisseau appelé le rû de Cléon, tombent dans la rivière, au-dessous de l'emplacement d'un ancien camp de César, situé au delà de cette rivière, sur le finage de Flogny.— (Camille Dormois, « Découverte d'un champs de sépulture à Villiers-Vineux », dans le Bulletin de Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, vol. 2, Auxerre : chez Perriquet, 1848, p. 197)
Ainsi au hameau des Millois, après un passage resserré entre l’Armançon où sont établis plusieurs moulins, et le coteau dont la pente est très rapide, le tracé se retrouve en plaine depuis Roffey jusqu’à Tonnerre, en passant près de la chapelle Saint-Roch et du moulin de Vézinnes, et se reporte ensuite sur la rive droite de la rivière, un peu au-dessus de Junay, pour éviter de traverser la ville.— (« Notice sur le chemin de fer de Paris à Lyon par la Bourgogne », Paris, Impr. Malteste, juillet 1841, cité dans Quand le PLM délocalise ses dépôts de locomotives… Tonnerre : un destin ferroviaire précaire, par Georges Ribeill, Revue d’histoire des chemins de fer, no 38, 2008, pp. 87-108)
Ces terrains secs et pierreux, ces sols très légers portaient jadis une mer de vignes de Saint-Michel à Junay sur la rive gauche de l’Armançon, de Maison Rouge à Dannemoine sur la rive droite.— (Loïc Abric, Jean-François Delorme & Hélène Liebert, « En Tonnerrois », dans Le Crémant de Bourgogne: Deux siècles d'effervescence, sous la direction de Jean-François Bazin, Editions Dunod, 2015, p. 72)