Invariable |
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Buenos-Ayres \bɥe.no.s‿a.i.ʁɛs\ ou \bɥe.no.z‿ɛʁ\ |
Buenos-Ayres \bɥe.no.s‿a.i.ʁɛs\ ou \bɥe.no.z‿ɛʁ\
Est-ce que Rosas n'avait pas fait décapiter les Français pris par Oribe dans la guerre de Montevideo ? Le dictateur gaucho n'avait-il pas fait exposer les têtes coupées aux étaux des bouchers de Buenos-Ayres ?— (Joseph Cahaigne, La couronne impériale : satire, à Louis Napoléon Werhuel dit Bonaparte avec notes historiques, Jersey : Imprimerie universelle, 1853, p. 75)
Ayant obtenu à Buenos-Ayres une lettre de marque pour faire la course contre le commerce espagnol, il recruta un nouvel équipage, où il fit rentrer presque tous les matelots qu’il avait licenciés.— (Auguste Laugel, Les Corsaires confédérés, dans la Revue des deux mondes, vol. 52, 1864, p. 234)
Tenez, quand on raconte qu’un homme qu’il porte une poule à Buenos-Ayres pour la vendre, on s’figure qu’elle se trouve au courant.— (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)