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Les environs de Fère-Champenoise ont été, le 25 mars 1814, le théâtre d'une bataille désastreuse qui ouvrit aux alliés le chemin de la capitale.— (Philippe Le Bas, France: Dictionnaire Encyclopédique, Paris : Firmin Didot frères, 1842, vol.7, page 771)
Les Saxons ont avancé jusqu’à Gourgançon sur une petite rivière, la Maurienne, mais ils ne peuvent se maintenir. Leur pression diminue et les Français reprennent Fère-Champenoise. Au soir du 8 septembre, Foch peut annoncer : « Nous sommes incontestablement dans le mouvement avant général. Je pense que nous passerons la Marne demain » .— (François Roth, Six mois qui incendièrent le monde, juillet-décembre 1914: Cette guerre que l’on croyait courte, Tallandier, 2014)
A Fère-Champenoise, en août 1955, on a tiré, à la main, sur une surface déterminée, des chaumes d'orge et de blé qui amenaient avec eux les 5 centimètres supérieurs des racines principales.— (Henri Richard, Productivité de la terre: fertilisation et rentabilité, Flammarion, 1959, page 84)
La vue vers l'est est immense, significative : de ce balcon, les paysages de la Champagne autrefois « pouilleuse » se déchiffrent clairement, avec leurs parcelles étendues de couleurs différentes, leurs rares villages, leurs routes filant droit, sous escorte d'arbres, vers les lointains de Fère-Champenoise et de Vitry-le-François.— (Jacques-Louis Delpal, La Champagne, Éditions de La Martinière, 1993, p. 89)
