Horace (h muet)\ɔ.ʁas\ masculin
Comment ne pas partager la morne tristesse que laisse paraître Curiace, lorsqu’il apprend que le sort l’a désigné pour combattre contre Horace, le mari de sa sœur, le frère de sa fiancée ?— (Manuel général de l’instruction primaire, tome VII, Librairie Hacette et ie, Paris, 1883)
Horace, chargé de son triple trophée, marchait à la tête des Romains— (Tite-Live, Histoire romaine, livre I, 26, traduction A. Flobert, éd. Flammarion)
Trissotin : Va, va restituer tous les honteux larcins— (Molière, Les Femmes savantes, acte III, scène 3)
Que réclament sur toi les Grecs et les Latins.
Vadius : Va, va-t'en faire amende honorable au Parnasse,
D'avoir fait à tes vers estropier Horace.
Lenglumé.– Moi, d’abord, j’ai le vin tendre… j’ai le falerne tendre !… comme dit Horace… Horatius !…— (Eugène Labiche, L’affaire de la rue de Lourcine, 1857, Scène 4)
Mistingue.– Coclès…
Lenglumé.– Non… Flaccus ! Tu dois connaître ça, un prix de vers latins !
Mistingue.– Faiblement !… faiblement !…
Lecture et écriture autorisent donc la maîtrise de la langue et l’exercice qui combine le mieux ces deux usus quotidiens, c’est la rétroversion, d’abord des textes cicéroniens puis plus tard des textes empruntés à Virgile et à Horace.— (Monique Bouquet, Les vicissitudes grammaticales du texte latin : du Moyen-Âge aux Lumières, 2002)
Relatifs au poète (1.b) :
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Horace \Prononciation ?\