Khersone \kɛʁ.sɔn\
que le chriſtianisme fut porté en Crimée, de façon que l’on érigea ſucceſſivement pluſieurs évêchés, ſavoir, à Kherſone, à Boſporus, & un parmi les Gothes.— (Johann Erich Thunmann, traduit par Mathias Joseph Gérard de Rayneval, Description de la Crimée, J. G. Treuttel, Strasbourg, 1786, 107 pages, page 12)
Dans les gouvernements de Bessarabie, de Podolie, de Kieff et dans les districts voisins des gouvernements de Volhynie, de Iékaterinoslav et de Khersone— (« Russie d’Europe », dans Journal officiel de la République française, 1904-08-14 . Consulté le 2024-04-15)
Dans le gouvernement de Khersone, de nombreux détachements partisans, composés de déserteurs de l’Armée rouge, développent leur activité en attaquant les arrières des forces régulières bolchévistes.— (« Les affaires russes », dans Istanboul, 1920-10-22, page 2/4 . Consulté le 2024-04-15)