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faon — Nom commun \fɑ̃\masculin (pour une femelle, il existe le mot faonne)
Petit d’une biche (cas d’emploi le plus courant), d’une daine ou d’une chevrette. Un faon (à gauche) et sa mère
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regarde à travers les treillis.— (Cantique des cantiques)
Le premier de son arc avait mis bas un daim. Un Faon de Biche passe, et le voilà soudain Compagnon du défunt ; tous deux gisent sur l’herbe.— (Jean de La Fontaine, Fables, Le Loup et le Chasseur)
Puis, Gus avait récupéré les deux pattes coupées gisant dans les dactyles, avait saisi le faon, était remonté sur son tracteur avec le corps sans vie sur ses cuisses, puis s’était mis en route vers la ferme.— (Franck Bouysse, Grossir le ciel, 2015, première partie, chapitre 10)
Le Seigneur dit : Je suis l’effroi des triomphants, Je suis le frein d’acier qui brise la mâchoire Des Couronnés, mangeurs de biches et de faons.— (Leconte de Lisle, Poèmes barbares dans la bibliothèque Wikisource , « La Vigne de Naboth », III, Librairie Alphonse Lemerre, 1900 (1re éd. 1862), page 33)
C'est ce faon de gazelle, qui est devenu ton fils, parce que tu l'as élevé en lui donnant à manger dans tes mains des poignées de çyâmâkas, et que tu as souvent guéri sa bouche déchirée par les aiguilles des herbes en y versant l'huile extraite des ingoudîs.— (« La reconnaissance de Çakountalâ », acte 4, les Œuvres complètes de Kâlidâsa, traduites de sanscrit en français par Hippolyte Fauche, tome 2, Paris : chez A. Durand, 1860, p. 152)