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Piton de la Fournaise \pi.tɔ̃ də la fuʁ.nɛz\ |
Piton de la Fournaise \pi.tɔ̃ də la fuʁ.nɛz\ masculin
Le Grand Cratère ou Piton Bory atteint 2625 mètres à sa roche supérieure ; il ne flambe plus, il ne bave plus, mais non loin de lui le Piton de la Fournaise ou Cratère Dolomieu, né en 1791, souffle, tousse, flamme et fume, à 2528 mètres au-dessus de la mer du sud-est ; il crache, à peu près tous les trois ans, des laves qui descendent dans un cirque, ou, comme on dit ici, dans un enclos.— (Onésime Reclus, La France et ses colonies, tome second : Nos colonies, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1889, p. 407)
Unique, sublime, totalement dépaysant… Les superlatifs abondent pour qualifier le piton de la Fournaise, que tout Réunionnais appelle le Volcan, avec la majuscule qu’on lui doit.— (Site geo.fr/ voyages, article Île de la Réunion-Piton de la Fournaise)
Il est très-remarquable qu’excepté le piton de la fournaise actuellement brûlante [sic], les points les plus élevés de ce fragment soient tous plus bas que les points limitrophes et correspondans [sic] qui appartiennent à la partie dont il a été séparé.— (Jean Baptiste G. M. Bory de Saint-Vincent, Voyage dans les quatre principales îles des mers d’Afrique, tome II, F. Buisson, Paris, An XIII (1804))