Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
Rousseauesque | Rousseauesques |
\ʁu.so.ɛsk\ |
Rousseauesque \ʁu.so.ɛsk\ masculin et féminin identiques
Il se demande quelles sont les dispositions fondamentales de l’être humain avant le développement de la raison (c’est-à-dire simplement les dispositions absolument fondamentales); il répond en s’interrogeant lui-même : 1º l’instinct de conservation ; 2º la répugnance « à voir périr ou souffrir tout être sensible et principalement son semblable » ; et, dans sa réponse à Ch. Bonnet (Philopolis), qui lui demandait comment il se fait, si l’homme est naturellement bon, que la populace se repaît avec tant d’avidité du spectacle d’un malheureux expiant sur la roue », ce mot bien Rousseauesque : « La pitié est un sentiment si délicieux qu’il n’est pas étonnant qu’on cherche à l’éprouver ».— (Albert Schinz, “Rousseau romantique et Rousseau calviniste”, Revue du Mois, tome XIII, 10 juin 1912, p. 694)
Rousseauesque \Prononciation ?\
Melville makes certain Rousseauesque equations which form the premises on which the story rests. These are innocence-nature-morality on the one hand, depravity-civilization-necessity on the other.— (Aladár Sarbu, “Melville, Our Contemporary”, Acta Litteraria Academiae Scientiarum Hungaricae, vol. 27, Akadémiai Kiadó, 1985, p. 303)
On the other hand the stories present an idyllicised Rousseauesque picture of country life: hardworking, non-drinking peasants are portrayed as healthy, happy and prospering amid the beauties of Nature.— (Ursula Phillips, Introduction à Malvina, or The heart’s intuition de Maria Wirtemberska, Polish Cultural Foundation, Londres, 2001, p. xiv-xv)