Singulier | Pluriel | |
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Masculin | achéen \a.ke.ɛ̃\ |
achéens \a.ke.ɛ̃\ |
Féminin | achéenne \a.ke.ɛn\ |
achéennes \a.ke.ɛn\ |
achéen \a.ke.ɛ̃\
Le type très antique, le type achéen célébré par Homère, n’est pas un simple souvenir ; il a reparu plusieurs fois dans le monde.— (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La Morale des producteurs, 1908, page 336)
La chute de la domination achéenne est traditionnellement attribuée à l’invasion dorienne.
La description que donnait Bechtel en 1923 du dialecte achéen au tome II de ses Griechische Dialekte, p. 869-888, contient des éléments toujours valables ; mais en incluant des faits linguistiques inhérents à la koina dorienne hellénistique parlée bien au-delà des frontières de l’Achaïe, aussi bien dans le Péloponnèse que dans les régions du Nord-Ouest, Bechtel diluait quelque peu la spécificité de ce dialecte.— (Laurent Dubois, Inscriptions grecques dialectales de Grande Grèce, tome II : Colonies achéennes, Librairie Droz, S. A., Genève, 2002)
Au Ve siècle av. J.-C., la Ligue achéenne rassemble douze cités, sur une base sans doute plus religieuse que politique.
Singulare tantum |
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achéen \a.ke.ɛ̃\ |
achéen \a.ke.ɛ̃\ masculin au singulier uniquement
L’apparition de quelques textes dialectaux postérieurs à l’adoption de l’alphabet réformé permet en effet de constater que l’achéen, comme les colonies laconiennes et locriennes de Grande Grèce, ne possédait qu’une voyelle longue : sont ainsi notées par êta ou oméga aussi bien les longues anciennes que les longues résultant d’un abrègement compensatoire ancien ou d’une contraction entre deux voyelles de même timbre.— (Laurent Dubois, Inscriptions grecques dialectales de Grande Grèce, tome II : Colonies achéennes, Librairie Droz, S. A., Genève, 2002)
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