acide azotique \a.si.d‿a.zɔ.tik\ masculin
Quelquefois on décape l’argent à l’acide azotique, mais il faut employer de l’acide bien exempt de chlore, qui formerait du chlorure d’argent à la surface de l’objet.— (A. De Plazanet, « Hydroplastie (Électro-chimie - Galvanoplastie) », chap. 38 des Études sur l'Exposition de 1867 ou Les archives de l'Industrie au XIXe siècle : description générale, encyclopédique, méthodique et raisonnée de l’État actuel des arts des sciences de l'industrie et de l'agriculture chez toutes les nations, édité par Eugène Lacroix, Paris, 1867, p. 423)
Quant au fer, pour le doser dans le liquide contenant le l’hyposulfite et séparé de l’alumine et de l'acide phosphorique, on le peroxyde par l’acide azotique, on filtre, puis on précipite par l’ammoniac: ce qui fournit du peroxyde de fer.— (Marcellin Berthelot et G. André, Sur la présence de l’alumine dans les plantes et sa répartition; Annales de Chimie & de Physique, 7e série, t.V, juillet 1895)
L’acide azotique agissant sur les produits secs les colore en jaune, l’azotate mercurique les colore en rouge à chaud.— (Cousin & Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires, 1911)