Singulier | Pluriel | |
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Masculin | arendtien \a.ʁɛn.tjɛ̃\ |
arendtiens \a.ʁɛn.tjɛ̃\ |
Féminin | arendtienne \a.ʁɛn.tjɛn\ |
arendtiennes \a.ʁɛn.tjɛn\ |
arendtien \a.ʁɛn.tjɛ̃\
La conception arendtienne de la modernité.
Le fil rouge de l’étrange et très déstabilisante proposition romanesque de Michel Folco s’organise finalement autour de la banalité du mal, selon l’éculée mais très heuristique formule arendtienne.— (Stéphane Baillargeon, « De la banalité du mal », Le Devoir, 26 juin 2010)
Pourtant, la publication, trois ans à peine après sa parution en langue anglaise, de La Condition de l’homme moderne, même si le titre déformait déjà l’esprit de l’ouvrage (The Human Condition, Vita activa dans les éditions allemande et italienne), promettait au public français un accès rapide à la pensée arendtienne.— (Marc Le Ny, Hannah Arendt : Le temps politique des hommes, 2013, ISBN 9782336332932, p. 17)
C’est l’illustration même des thèses arendtiennes sur l’idéologie comme logique de l’idée. Les adeptes sont pris dans une dynamique les conduisant à se fixer en permanence de nouveaux objectifs, sans autre souci, justement, que d’être logiques avec eux-mêmes.— (Éric Werner, « L’Afghanistan et nous : la dialectique des extrêmes », Antipresse no 300, 29 août 2021, pages 9-12)