Singulier | Pluriel | |
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Masculin | arminien \aʁ.mi.njɛ̃\ |
arminiens \aʁ.mi.njɛ̃\ |
Féminin | arminienne \aʁ.mi.njɛn\ |
arminiennes \aʁ.mi.njɛn\ |
arminien \aʁ.mi.njɛ̃\ masculin|
Une alliance du dogme arminien avec le mysticisme anabaptiste et le sentiment calviniste.— (Henri Brunel, Étude sur l’histoire du christianisme, Marc Aurel frères, 1842, page 285)
Le contact avec la pensée arminienne, par l’intermédiaire de Jean Le Clerc, fut pour Toland un élément important dans son évolution intellectuelle vers un christianisme raisonnable, qui le conduisit dès 1696 à proposer sa définition d’un christianisme sans mystères.— (Paul Brennan, Entrelacs franco-irlandais, Presses universitaires de Caen, 2013, page 114)
Singulier | Pluriel |
---|---|
arminien | arminiens |
\aʁ.mi.njɛ̃\ |
arminien \aʁ.mi.njɛ̃\ masculin (pour une femme, on dit : arminienne)
L'arminianisme évangélique est fondé sur les cinq points des Remontrants. Un arminien évangélique est quelqu’un qui croit que Dieu, en Christ, étend son amour à tous les hommes et que chacun est responsable personnellement de son attitude par rapport à cet amour.— (Mildred Bangs Wynkoop, Les Fondements de la théologie wesleyo-arminienne, Chennevière-sur-Marne : Maison des publications nazaréennes, 1999, page 61)
L’arminien qui a cherché à examiner les dogmes du christianisme a donc rapproché insensiblement ces dogmes des idées que la raison nous fournit.— (François-André-Adrien Pluquet, Dictionnaire des hérésies, des erreurs et des schismes. J.-P. Migne éditeur, 1853, page 437)