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(Date à préciser) Du verbe en ancien français armoier, armoyer (« combattre ») (v. 1180) qui avait pris au XIVe siècle (1381) le sens de « garnir (un écu) des figures du blason », d’après une des valeurs figurées d’arme.
Ce drapeau ne portait aucun emblème indiquant la naissance et le rang du défunt ; car les armoiries, qui étaient encore une nouveauté parmi les chevaliers normands eux-mêmes, étaient totalement inconnues aux Saxons.— (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
Non, la gloire, noblesse dont les armoiries ne se vendirent jamais, n’est pas la savonnette à vilain qui s’achète, au prix du tarif, dans la boutique d’un journaliste !— (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
Le 20 juin 1790 furent abolis non-seulement ces titres, mais encore les armoiries, les livrées, les ordres de chevalerie, tous les hochets de la vanité.— (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
Il commença par examiner le cachet de cire rouge qui la fermait et il vit que ce cachet portait des armoiries qu’il ne prit pas le temps de déchiffrer, avant de le faire sauter.— (Fortuné du Boisgobey, Double-Blanc, Paris : chez Plon & Nourrit, 1889, part. 1, chap. 1.)
Symbole d'une ascendance noble, bien que l’étude historique des armoiries contredise une quelconque prérogativenobiliaire.
Par malchance, Mlle Francou ne prêtait qu'à court terme, et rien sur les armoiries.— (Angelo Rinaldi, L'éducation de l'oubli, Denoël, 1974, page 217)