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La plaisanterie du paysan et de l’ouvrier est très attique, elle consiste à dire toute la pensée en la grossissant par une expression grotesque.— (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre quatrième)
(Architecture) Qui consiste en pilastres raccourcis proportionnellement à l’étage qu’ils décorent et qui porte lui-même le nom d’étage attique ou, par ellipse, d’attique.
Qualifie l’étage placé au sommet ou au milieu d’un édifice, de proportions moindres que les étages supérieurs ou inférieurs, séparé par une corniche du reste de la construction.
(Architecture)Étage placé au sommet ou au milieu d’un édifice, de proportions moindres que les étages supérieurs ou inférieurs, séparé par une corniche du reste de la construction.
: le rez-de-chaussée avec arcades et bossages, l’étage noble, l’attique enfin, surbaissé et à fenêtres carrées.— (Jean de La Varende, Versailles, édition Henri Lefebvre, 1959, page 67)
Rome est une ville “renversante” – à voir aussi de bas en haut, comme New York : corniches lointaines des palazzi romains, attiques inaccessibles – ce peuple de statues à l’extrémité de certaines terrasses (à Saint-Jean-de-Latran, Saint-Pierre, sur les palais du Capitole) - ; plafonds élevés où, dans le prolongement des colonnes et pilastres, des architectures peintes ouvrent sur de faux ciels, ceux de Saint-Ignace dans l’apothéose d’Ignace de Loyola, peinte par Pozzo, ceux du palais Barberini dus à Pierre de Cortone, ou encore ceux de Michel-Ange à la Sixtine.— (Claudia Moatti, Roma, Actes Sud, 1997, page 54)
Au-dessus du second ordre est un attique, un petit attique.
On a couronné ce bâtiment d’un attique, pour en cacher le toit.