au bord du gaz \o bɔʁ dy ɡaz\
En plus, j'ai sans arrêt mal au crâne tandis que toi, au bord du gaz il y a huit jours, tu te portes comme une rose...— (Catherine Vigourt, Le Paradis pour tous, chap. 5, Paris : Stock, 1997)
— Arthur, tu me fais peur, tu ne te vois pas ce matin, mais tu as l'air au bord du gaz.— (Marc Levy, Et si c'était vrai..., Éditions Versilio, 2012)
— Je suis fatigué, j'ai peu dormi et j'ai sûrement une sale mine mais je suis en pleine forme à l'intérieur. Je t'assure tout va très bien.
— Ne me dis pas que je peux même t'appeler en pleine nuit, si jamais je suis au bord du gaz ?— (Laurent Debaker, Y manquait plus que ça !, Paris : Éditions Rhéartis, 2024, p. 44)
— Et pourquoi pas ?
si vous pouvez me faire part de vos experiences ça me remonterait un peu , je ne suis pas au bord du gaz loin de là, mais ça m’a fichu un peu chaos !— (heartandcoeur.com, 2007)
Avec mon mari nous sommes au bord du gaz, je commence à être très dépressive et je crois que mon zhom aussi. On en peut plus !— (forum.doctissimo.fr, 2007)
J’ai bu la goutte qui fait déborder le vase / Y a pas l’ombre d’un doute, je suis au bord du gaz / Azimuté, carrément naze— (Démantibulé, chanson de Louis Bertignac)