Singulier | Pluriel |
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avérage | avérages |
\a.ve.ʁaʒ\ |
avérage \a.ve.ʁaʒ\ masculin
Le cheminement d’avérage est semblable, du terme « avoir » possession, à la signification spécialisée, en provençal du terme avérage = bétail menu, ovin ou caprin.— (Alain Collomp, La Maison du père, Famille et village en Haute-Provence aux XVIIe et XVIIIe siècles, Presses universitaires de France, 1983)
« L’avérage cabrun » est placé entre les « bestes lainues » et la dernière des bêtes à poil : le porc.— (Jean-Noël Passal, L’esprit de la chèvre, éditions Cheminements, 2005, page 17)
Or, beaucoup de particuliers, toujours au mépris des anciennes capitulations, ont pris silencieusement « l’habitude d’introduire divers troupeaux d’avérages étrangers qu’ils font dépaître durant l’été aux herbages communs, au détriment du public et du particulier ».— (Thérèse Sclafert, Cultures en Haute-Provence, S.E.V.P.E.N., 1959, page 173)
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