babaud

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot babaud. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot babaud, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire babaud au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot babaud est ici. La définition du mot babaud vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition debabaud, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

De l’italien babau, personnage fantastique destiné à effrayer les enfants.

Notes

On retrouve une origine mythologique dans l’italien babau d’un animal à tendance néfaste, parallèle des gorgones ou cyclopes grecques. Très courant à travers les âges dans toutes les régions, ce personnage est toujours utilisé de nos jours, par exemple, sous l’appellation gendarme ou loup-garou . Toutes les définitions locales peuvent se rapporter à ce personnage mythique effrayant : soit dans la grimace qui en découle ; dans le bégaiement qu’il engendre ; le stress qu’il occasionne ; la ressemblance avec la niaiserie  ; la tenue vestimentaire .

Apparentés étymologiques

Nom commun

babaud \ba.bo\ masculin (pluriel à préciser)

  1. (Parler gaga) (Par extension) Cafard (au sens moral).
    • Ces temps d’hiver, ça vous fout le babaud. — (Bernard Domeyne, La bête du Pilat, chez Mon Petit Éditeur, 2015, page 153)
    • Il ne parvenait pas à surmonter son « babaud ». — (Charles Exbrayat, La Désirade, Albin Michel, 1985, troisième partie, chapitre 4)

Dérivés

Variantes orthographiques

Traductions

Références

  •  : Archives par étiquette : Babau, Fenouillèdes, Chronologie historique.
  •  : Charles Ménière, Glossaire angevin étymologique, à Genève chez Statkine reprints, 1979, page 233, .
  •  : Fernande Maza-Pushpam, Les régionalismes de Mariac, Centre de dialectologie, Université Stendhal-Grenoble III, 1992, page 33, .

Voir aussi