baiserie

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot baiserie. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot baiserie, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire baiserie au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot baiserie est ici. La définition du mot baiserie vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition debaiserie, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

Dérivé de baiser, avec le suffixe -erie.

Nom commun

Singulier Pluriel
baiserie baiseries
\bɛz.ʁi\

baiserie \bɛz.ʁi\ féminin

  1. Action de baiser, d’avoir des rapports sexuels.
    • Pour l’instant, il y a un homme dans le train, je ne sais pas qui il est, et chose extrêmement simple et mystérieuse à la fois, je l’aime pour cette unique raison que je ne sais pas qui il est, je cours vers lui, je ruisselle vers lui exactement comme si j’allais me trouver moi, comme s’il allait répondre à ma question, comme si dans la baiserie que nous aurions ensemble, lui et moi ensemble, nous pouvions avoir ces sentiments là de bonheur, de joie, de tranquillité absolue et infinie — (Agnès Borg, Purgatoires étincelants, ISBN 9782307228509)
  2. (Familier) Tromperie, duperie, arnaque.
    • Encore un gadget à vingt balles qui ne fonctionne pas, une vraie baiserie.

Traductions

Prononciation

  • Vosges (France) : écouter « baiserie  »

Anagrammes

Modifier la liste d’anagrammes

Étymologie

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

Nom commun

baiserie *\Prononciation ?\ féminin

  1. Action de s’embrasser.

Sources

  • Jean-Baptiste de La Curne de Sainte-Palaye, Dictionnaire historique de l’ancien langage françois ou glossaire de la langue françoise, depuis son origine jusqu’au siècle de Louis XIV, 1875, vol. 2, p. 374