Singulier | Pluriel | |
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Masculin | bas-breton \ba.bʁə.tɔ̃\ |
bas-bretons \ba.bʁə.tɔ̃\ |
Féminin | bas-bretonne \ba.bʁə.tɔn\ |
bas-bretonnes \ba.bʁə.tɔn\ |
Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | bas-breton \bɑ.bʁə.tɔ̃\
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bas-bretons \bɑ.bʁə.tɔ̃\ |
Féminin | basse-bretonne \bɑs.bʁə.tɔn\ |
basses-bretonnes \bɑs.bʁə.tɔn\ |
bas-breton \ba.bʁə.tɔ̃\
Pour eux, cette foule noire, lente et pressés, qui va, vient, serpente, tourne, retourne, monte, descend, et qui ne peut être comparée qu’à des fourmis sur leur tas de bois, n’est pas plus compréhensible que la Bourse pour un paysan bas-breton qui ignore l’existence du Grand-Livre.— (Honoré de Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1847, première partie)
Ivon s’était aussi amouraché d’une grosse servante basse-bretonne, qu’il avait retirée de sa cuisine, pour la caricaturer en grande dame, et lui faire porter, comme il le disait, un gréement complet de femme à la mode.— (Édouard Corbière, Le Négrier, Dénain et Delamare, Paris, 1834, page 33-34)
Invariable |
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bas-breton \bɑ bʁə.tɔ̃\ |
bas-breton \ba.bʁə.tɔ̃\ masculin, au singulier uniquement
La limite est régulière et frappe les observateurs par la netteté de son tracé : pour Gilbert Villeneuve qui parle de la Basse-Bretagne, « il n’y a absolument aucune nuance : on parle bas-breton, ou on ne le parle pas, point d’intermédiaire ».— (Frontière linguistique bretonne sur l’encyclopédie Wikipédia )
– Et Alain s’est fait au métier..., lui, un gars de Trégunc, qui ne savait que garder les chèvres et qui ne parlait que le bas-breton !— (Fortuné du Boisgobey, Double-Blanc, Paris : chez Plon & Nourrit, 1889, part. 1, chap. 3.)
il paraît évident à Barère par exemple, que « le fédéralisme et la superstition parlent bas-breton ».— (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, page 199)
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