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(XVIIe siècle) De l’allemand biwacht (« garde »)[1] dérivé de bewachen ( « garder, monter la garde » ). Le mot est entré en français par l’intermédiaire des mercenaires[1]suisses. Il est adopté par les autres langues européennes lors des guerres napoléoniennes principalement à partir de la forme bivac majoritaire avant le milieu du XIXe siècle[2][3].
On entendait à six cents pieds plus bas l'agitation, les cris, le murmure du bivouac ennemi.— (Jules Verne, Les Enfants du capitaine Grant, 1868)
Entreprendre une méharée au Mali, c'est s'immerger complètement dans le monde du désert, des espaces sans fin, des bivouacs étoilés, des feux de camp et des théières fumantes.— (Éric Milet, Mali: Magie d’un fleuve aux confins du désert , Éditions Olizane, 2007, page 144)
L’endroit où se trouvait cet homme était admirablement choisi pour une halte de quelques heures. . Une source jaillissait à quelques pas du lieu où le chasseur avait établi son bivouac.— (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
Deux fois par an, au printemps et à l’automne, le dernier régiment monté de l’armée française envoie en province, par roulement, ses trois escadrons pour quelques jours de « bivouac ». Au menu : divers exercices qui entraînent les hommes et les chevaux. C’était le premier bivouac du lieutenant Pelardy affectée cet été au régiment de cavalerie dès sa sortie de l’Ecole d’officiers de la gendarmerie nationale (EOGN).— (Jean-Louis Andreani, « Le “bivouac” de la lieutenante-cavalière Pelardy ne fut pas une balade », dans Le Monde, 20 octobre 2005)