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(Date à préciser) Serait peut-être issu d’un terme militaire usité en Afrique lui-même issu du lingala, langue dans laquelle bololo signifie amer, aigre[1]. Terre Information Magazine indique, lui, que le mot vient du nom d’un quartier délabré de la capitale du Tchad, N’Djamena[2].
Lorsque l’indigène en marche veut se procurer du feu, il prend deux morceaux de bois de l’arbre appelé « bololo » et les frotte vivement l’un contre l’autre jusqu’au moment de l’inflammation.— (La Belgique maritime et coloniale, 1897, page 235)
On peut énumérer bien d'autres fruitiers: Diospyros mespiliformis (kom), Ximenia americana (tidi), Annona senegalensis (mbor), Sarcocephalus esculentus (kiya), Carissa edulis (ngonge), Bridelia ferruginea (sihiyan), Sclerocanrya birrea (bololo), Hymenocardia acida (kariya), Strycuos inocua... — (Christian Seignobos & Robert Madjigoto, Le prix des "arbres sauvages" : petite chronique des compensations du Consortium Esso aux paysans tchadiens, dans les Annales de Géographie, t. 114, no 646, 2005. page 647)
Sou se lève et s’en va dans la savane appeler son neveu chauve-souris et lui dit: " mon neveu, le père de ma fiancée a exigé que nous allions cueillir des fruits de bololo au sommet d’un rônier, ensuite je pourrai l’épouser."— (Joseph Fortier, « Le fiancé au fruit de bololo », dans les Contes ngambaye, Mission catholique, 1972, page 57)
A la fin du siècle dernier, les Giziga, dont l’habitation - à l’exception des silos - était de paille et de vannerie, faisaient grand cas des graminées. Pour les toitures, ils choisissaient Andropogon sp. (bololo), Diheteropogon aplectans (ngurok), Heteropogon sp. (gulinjer) et bulum, haute graminée utilisée sèche pour les litages du toit. Aujourd’hui, ils ont recours à Loudetia togoensis, Andropogon pseudapricus et même Pennisetum pedicellatum.— (Christian Seignebos & Olivier Iyebi Mandjek, Les jachères dans les terroirs giziga : l’exemple de Muda (Nord-Cameroun), dans Le jachère en Afrique de l’ouest, textes présentés par Christian Floret & Georges Serpantié, Editions de l'ORSTOM, 1993, page 156)
Le cercueil est commandé. Il sera livré bientôt. Quel merdier, avec les papiers ! Carajo! Si vous saviez : Police, Etat Civil à la mairie, certificat par-ci, certificat par-là : le cimetière, l’église, le cercueil et tout le bololo. Je m’en rappellerai de l’enterrement de l’ex-Ambassadeur!!— (Bernard Lucquiaud, Cartagena: Caraïbe et colombienne, Paris : Les Editions du Panthéon, 2011, page 88)
Edouard Philippe met en garde ceux qui veulent mettre le bololo.— (francetvinfo.fr, DIRECT. Primes à la conversion, chèque énergie… Edouard Philippe présente ses mesures après la hausse des prix des carburants, 14 novembre 2018 → lire en ligne)