Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
chaplinesque | chaplinesques |
\ʃa.pli.nɛsk\ |
chaplinesque \ʃa.pli.nɛsk\ masculin et féminin identiques
D’emblée, ces derniers considèrent Charlie Chaplin comme un des leurs et son (indissociable) personnage comme l’incarnation de l’homme moderne aux prises avec les transformations du siècle naissant. Dès lors, peintres, sculpteurs, photographes, écrivains interrogent, reprennent, prolongent l’œuvre chaplinesque.— (Véronique Cauhapé, Peintres, sculpteurs, photographes… Comment l’œuvre de Charlie Chaplin a inspiré de nombreux artistes, Le Monde. Mis en ligne le 31 octobre 2019)
À titre d’exemple, nous consignons ci-dessous quelques-unes des attestations orales qui nous sont tombées sous les oreilles : une interprétation chaplinesque, presque charlotesque du mythe de Landru— (Jakob Jud, Arnald Steiger, Vox romanica : Annales helvetici explorandis linguis romanicis, Volumes 47-48, 1988)
Cela dura peu, tourna au mode chaplinesque lorsque frère Grégoire, s’arrachant à l’étreinte enivrante tant chantée par Tino, se rua sur la passerelle. Mirabelle, panique, le religieux dérapa sur la planche et, comme à sa première visite, chut dans le canal.— (René Fallet, Le braconnier de Dieu, 1974, Bibliothèque du temps présent, page 62.)
charlotesque et chaplinesque sont faits sur le surnom (Charlot) et le nom (Chaplin) du représentant-type de l’invention comique— (Albert Dauzat, Le Français moderne, Volume 26, 1958)