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(1841)Confetti apparait avec le sens de « dragées de plâtre » chez Stendhal, (1894) « petits ronds multicolores en papier » ; de l’italien confetti, pluriel du participe passé confetto (« bonbon ») → voir confit, confire et confiserie.
Note : La tradition voulait qu’on se lançât des dragées et des bonbons pendant le carnaval. Ils furent remplacés par des petites boules de plâtre, puis simplement des bouts de papier coloré (initialement des chutes de papier perforé utilisé pour l'élevage des vers à soie).
Rondelle en papier, parfois en plastique, et souvent colorée que l’on lance en l'air, ou sur les gens, lors des fêtes.
ART. 55. Il est également défendu de vendre et jeter des ‘confettis’ dans les rues et places de la Ville. ART. 56. A l’occasion des fêtes publiques une autorisation spéciale pourra être accordée pour la vente et le jet des ‘confettis’ ainsi que pour permettre de tirer des pétards et feux d’artifices.— (Ville de Paramé, Règlement général de police municipale, Bazin, Saint-Malo 1884, p. 10)
C’est le dimanche du carnaval. Les autos passent, remplies de fêtards qui s’envoient des confetti ; les jeunes aspergent les femmes de parfum.— (Albert Londres, L'Homme qui s’évada, Les Éditions de France, 1928, page 163)
Il éventre des classeurs, des fichiers remplis de paperasses et il en répand le contenu dans les airs, l’éparpille à poignées comme des confetti !— (René Pellos, Corrald, Les Pieds nickelés font fortune, Société Parisienne d’Édition, 1949, pl. 2)