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Étymologie
- (1767)[1] Dérivé de copal, avec le suffixe -ier.
Nom commun
copalier \kɔ.pa.lje\ masculin
- Nom donné initialement à l’Hymenaea verrucosa de Madagascar, puis aux autres espèces d’arbres tropicaux de la famille des Fabacées qui produisent la résine appelée copal, incluant les arbres du genre Guibourtia (Afrique) ainsi que le courbaril (Amérique du Sud).
Elles s’étagent du littoral où les copaliers entremêlent leurs hautes ramées blondes qui, après les grands vents, de toutes leurs branches fracassées, pleurent la gomme rouge, jusqu’aux végétations suffrutescentes du Plateau Central.
— (Marius-Ary Leblond, Tableau des ressources de Madagascar, La Revue hebdomadaire, mars 1914, page 354)
Ils escaladaient les copaliers, qui sont de très grands arbres, grattaient les exsudations résineuses qu’ils trouvaient sur l’écorce et ramassaient sur le sol les petits fragments de résine solidifiée qui tombent parfois de ces exsudations.
— (Lucien Demesse, Changements techno-économiques et sociaux chez les Pygmées babinga, Société d’études linguistiques et anthropologiques de France, 1978, page 67)
Traductions
Anagrammes
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Références