correspondante

(Date à préciser) Dérivé de correspondant, avec le suffixe -ante.

correspondante \kɔ.ʁɛs.pɔ̃.dɑ̃t\ féminin (pour un homme, on dit : correspondant)

1. Celle qui est attachée par ce titre à un corps savant.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
2. (Par extension) Celle avec qui on est en commerce réglé de lettres, pour affaires, pour nouvelles, etc.
   • Maintenant elle a une correspondante bretonne, à qui elle rendra visite après ses examens. — (Julia Deck, Ann d’Angleterre, chapitre 8, Le Seuil, Paris, 2024, page 74)
3. Celle qui s’est chargé de remplacer les parents et de veiller sur un enfant envoyé comme interne dans un établissement d’instruction pour faire ses études.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
4. (Journalisme) Journaliste envoyée à un endroit pour recueillir des informations sur place.
   • Yvon avait filé dès les premiers jours avec une correspondante suédoise du Fath, et les enfants avaient dû être hospitalisés à cause d’une amibiase. — (Alain Demouzon, Section rouge de l’espoir, 1979, chapitre 23)
5. Celle qui entretient une correspondance avec quelqu’un.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

correspondante \kɔ.ʁɛs.pɔ̃.dɑ̃t\

1. Féminin singulier de correspondant.
   • Au danger bien connu que représente l’usage d’une scie s’oppose la force affirmée comme correspondante du pansement : si Urgo n’existait pas, le monde — du moins celui du bricolage — serait en déséquilibre ! — (Jean-Marie Floch, Petites Mythologies de l’œil et de l’esprit, 1985, page 175)

• La prononciation \kɔ.ʁɛs.pɔ̃.dɑ̃t\ rime avec les mots qui finissent en \ɑ̃t\.
• France (Brétigny-sur-Orge) : écouter « correspondante  »

• « correspondante », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage