coup de peinture \ku də pɛ̃.tyʁ\ masculin
Le café-tabac de Jos Bourriquet avait besoin d’un bon coup de peinture.— (Alain Demouzon, Section rouge de l’espoir, 1979, chapitre 24)
Les Syldaves et les Bordures n’ont qu’à bien se tenir. Ici, on ramasse les vieilles pétoires, on met un coup de peinture sur les zincs maculés d’huile et de rouille, histoire de faire bonne figure lors du prévisible défilé de la victoire, puis on s’apprête gaiement au massacre.— (Mikaël Hirsch, Quand nous étions des ombres : Roman de la destinée, Éditions Intervalles, 2017)
En dépit du coup de peinture dont il avait fait l’objet, mon engin à guidon plat et à pignon fixe ne rappelait que d’assez loin les biclos rutilants des " géants de la route " aux exploits desquels Georges m’avait convié à m’intéresser.— (Robert Ichah, Juif malgré lui, 2000, page 29)