Singulier | Pluriel |
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couturière | couturières |
\ku.ty.ʁjɛʁ\ |
couturière \ku.ty.ʁjɛʁ\ féminin (pour un homme, on dit : couturier)
Pour le désespoir des femmes, sa toilette était irréprochable, et toutes lui envièrent une coupe de robe, une forme de corsage dont l’effet fut attribué généralement à quelque génie de couturière inconnue…— (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
Petite couturière. — Couturière en chambre. — Couturière à la journée.
Je croyais que maman me conduirait chez « Léonie sœurs » qui habille les dames élégantes de la ville. Elle m’a menée chez une couturière en chambre, Mlle Bernet.— (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 56)
Elle avait entre vingt-cinq et trente ans. Elle était de taille moyenne, un peu grasse. Ses vêtements étaient faits par une petite couturière, ou alors, s’ils sortaient d’une bonne maison, elle ne savait pas les porter.— (Georges Simenon, Le fou de Bergerac, Fayard, 1932, réédition Le Livre de Poche, page 65)
C’était Pierson. Il était agenouillé, et avec un mètre de couturière il paraissait très occupé à mesurer le sol. Ses manches étaient retroussées, ses mains tachées de terre, et il y avait une petite pelle à ses côtés.— (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote, 1949, réédition Le Livre de Poche, page 147)
Singulier | Pluriel |
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couturière | couturières |
\ku.ty.ʁjɛʁ\ |
couturière \ku.ty.ʁjɛʁ\ féminin
Le public a ainsi l’impression d’assister à ce qu’on appelle « la couturière », terme désignant la dernière répétition avant la générale.— (Frank Wilhelm, Le théâtre dans le théâtre, le cinéma au cinéma, Éditions Lansman, 1998).
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | couturier \ku.ty.ʁje\ |
couturiers \ku.ty.ʁje\ |
Féminin | couturière \ku.ty.ʁjɛʁ\ |
couturières \ku.ty.ʁjɛʁ\ |
couturière \ku.ty.ʁjɛʁ\
Il y a beaucoup de meubles poussiéreux, ce qui reste de ce que mon arrière-grand-père avait acheté à la Compagnie des Indes. Je m’assois sur une chaise couturière, très basse, et je regarde par la lucarne, vers le cirque de montagnes qui émerge de l’ombre.— (J. M. G. Le Clézio, Le Chercheur d’or, Gallimard, 1985)
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