crime de sang \kʁim də sɑ̃\ masculin
Après seize ans de détention, il n’imaginait pas « avoir l’opportunité de “se racheter” », reconnaît-il dans une pièce sans charme de la maison centrale où sont actuellement détenues 223 personnes, dont 85 % pour crime de sang.— (Feriel Alouti, A Poissy, détenus et victimes se rencontrent : « Comment peut-on tuer un autre humain ? » sur LeMonde.fr, Le Monde. Mis en ligne le 3 septembre 2017, consulté le 19 septembre 2017)