Singulier | Pluriel |
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culture vivrière | cultures vivrières |
\kyl.tyʁ vi.vʁi.jɛʁ\ |
culture vivrière \kyl.tyʁ vi.vʁi.jɛʁ\ féminin
A partir de données d’enquête sur le Maroc, ils ont décrit un modèle de ménage très simple dans lequel le ménage produit deux cultures, une culture vivrière partiellement autoconsommée et une culture entièrement commercialisée.— (Michel Griffon, Économie institutionnelle et agriculture, Éditions Quae, 1994, page 99)
Par contre, les cultures vivrières, qu’elles soient céréalières ou d’appoint, peuvent former le thème central de certains récits. Cette position centrale dans les contes constitue l’indice du caractère économique prédominant de cette production.— (Olivier Langlois, Ressources vivrières et choix alimentaires dans le bassin du lac Tchad, IRD Éditions, 2013)
Dès la fin du XIXe siècle, le maïs est devenu la principale culture vivrière. Les superficies emblavées ont augmenté non seulement à cause de l’accroissement démographique, mais aussi parce que les surplus de maïs pouvaient être régulièrement vendus, .— (M. Breusers & D. Gibbon, L’agriculture Adja, dans Le Yémen contemporain, sous la direction de Rémy Leveau, Franck Mermier & Udo Steinbach, Karthala éditions, 1999, page 200)