détriquer

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot détriquer. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot détriquer, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire détriquer au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot détriquer est ici. La définition du mot détriquer vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition dedétriquer, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

Verbe

détriquer \de.tʁi.ke\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. (Provence) Presser (des olives).
    • En effet, si les vestiges décrits ne permettent d'identifier formellement que des installations de pressage (à l'exception du moulin de la communauté), il est possible de vérifier que les archives évoquent toujours des « moulins à détriquer les olives » aux mêmes endroits. — (Provence historique, volume 48, 1998, page 167)
    • Chaque année était constituée un rôle (une liste ordonnée) des récoltants apportant leurs olives à détriquer (à presser), selon un ordre qui devait être respecté. — (site www.lescourens.org)
  2. (Aube) Trier pour ne garder que la meilleure qualité.
  3. Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)
    • Lesdits hommes, présents et futurs, sont tenus et doivent écraser ou défriter leurs bleds à recueillir par eux dans le domaine de Vitrolles, dans son territoire, par le bétail chevalin ou cavallier du seigneur et non par un autre bétail, excepté cependant par leurs propres animaux, sans aucun cout, ou paiement des chauchures, pourvu cependant que lesdits hommes n’appareillent point et ne pussent appareiller leurs animaux ou les ajouster un avec l’autre, mais que chacun détrique ou décalque ses bleds avec le bétail chevalin du seigneur et paient pour prix de la chauchure et du travail chevalin la dix-huitième partie de chacun des bleds à chaucher ou détriquer, mais quand il arrivera que lesdits hommes, ou quelqu’un d’entre eux, détriquera ou chauchera sesdits bleds avec ses propres animaux, ils ne paieront pas de chauchure audit seigneur. — (La Réforme sociale, 1897, page 921)

Traductions

Références

  • sens utilisé dans l’Aube : Alphonse Baudouin, Glossaire du patois de la forêt de Clairvaux, in Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube, 1885.